Le Mont citoyen

Démocratie – Solidarité – Écologie


Pour une ville égalitaire, écologique, tournée vers l’avenir et dynamique

Je suis une femme écologiste pragmatique. Au quotidien, j’allie ma carrière de responsable dans une structure d’insertion professionnelle et mon rôle de mère féministe de trois enfants. Ceci sans négliger mon âme d’épicurienne! Je suis très impliquée dans la vie sociale et culturelle de cette région et au barème des richesses, le partage et les relations amicales sont ma fortune.

Ces éléments sont indissociables de ma personnalité : mère depuis l’âge de 16 ans, cela a été un moteur pour l’accomplissement d’un CFC de cuisine à 19 ans, puis pour accéder à un poste de cadre dans le commerce de détail à 25 ans. Cette détermination et cette énergie m’ont permis aujourd’hui, à 33 ans, de me rapprocher d’un domaine qui reflète mieux mes valeurs en pilotant des départements dans des ateliers de réinsertion.

Maternités, rupture, recomposition familiale, mon parcours reflète la réalité de nombreuses femmes ambitieuses qui se confrontent aux difficultés de la conciliation famille-travail: garde des enfants, gestion efficace d’un budget, suivi de la scolarité et des activités extrascolaires, charge mentale, tout en poursuivant avec passion mes aspirations professionnelles et personnelles. 

Les familles, dans la multiplicité de leurs formes, traditionnelles, monoparentales, homoparentales, recomposées, méritent une politique adaptée à leurs besoins spécifiques et ancrée dans les valeurs de la solidarité et du respect de chacun·e. 

Le respect de l’humain passe aussi par le respect de la nature. Etant tournée vers l’avenir c’est dans cette démarche que je suis devenue membre des vert.e.s. Sans être végétarienne, je consomme en majorité des produits de la région qui ont suivi un circuit court et font vivre des citoyen·ne·s de ma commune. Favorisant la mobilité douce, je souhaiterais me passer entièrement de la voiture mais j’avoue volontiers mes limites: avec 3 enfants, une vie professionnelle et sociale bien remplie, je ne parviens pas encore à me déplacer uniquement à vélo ou en bus. Surtout dans une ville qui monte autant! 

Parmi les souvenirs les plus marquants qui m’animent, je suis fière d’avoir participé à la grève des femmes du 14 juin 2019, accompagnée entre autres de ma mère et de ma fille. C’est un demi-million de femmes et d’hommes en Suisse qui se sont mobilisé·e·s ce jour-là.  Cet événement emblématique est un symbole de la lutte pour l’égalité et nous rappelle quelle force peut avoir une telle mobilisation.  Il faut poursuivre cet engagement afin de faire changer les mentalités. Le Mont doit profiter de son développement pour déployer sur le terrain une politique pragmatique en faveur de l’égalité et contre les discriminations en tout genre.

La période de crise sanitaire que nous vivons met en lumière l’importance du filet social actuel mais aussi ses limites. Cela me touche énormément et personne ne devrait être indifférent au fait de voir des centaines de personnes faire la queue pour un sac de courses de première nécessité. Avec l’Etat, les communes ont un rôle essentiel à jouer pour prévenir la précarité et aider les personnes les plus défavorisées. Développer une politique sociale à part entière à l’échelle du Mont est une priorité indéniable au vu de son statut de ville à venir. Cette ville ne doit pas uniquement répondre aux besoins de ses citoyen·ne·s les plus aisé·e·s.

Probablement utopique, fondamentalement passionnée dans mes engagements, je serai la voix des femmes et des hommes qui rêvent d’une ville égalitaire, écologique et tournée vers l’avenir.

Véronique BLANC


A vélo à travers le Mont

Je souhaite vous parler de ce que je connais le mieux : la mobilité cycliste. Alors sortons !

Comme « présentation », je vous propose ci-dessous une petite sortie à vélo filmée et commentée à travers notre commune. Suivez-moi!

Jean-Marie URFER

Marié, deux enfants

Docteur en mathématiques

Enseignant au Gymnase Auguste Piccard

Président des Jardins du Mont, entraîneur juniors FC Le Mont

Membre Pro Vélo


J’aime cette commune et ses citoyens et je désire m’investir pour défendre ses intérêts

Mon mari et moi sommes arrivés au Mont, dans le quartier du Petit-Mont en 2006. Nous y avons fondé notre famille et depuis nos 2 enfants y suivent leur scolarité.

Investie dans 2 sociétés locales, tout d’abord aux Paysannes vaudoises, puis à la FSG Le Mont, groupe des filles 7-10 ans, j’ai obtenu le titre de Monitrice J+S Sports des enfants en 2019. 

Les valeurs que je défends sont la solidarité, la bienveillance et la proximité. 

Depuis mon arrivée dans cette commune, j’ai pu constater l’expansion démographique qui s’est opérée. Cela ne va pas sans soulever plusieurs questions pour lesquelles des réponses doivent être trouvées (infrastructures, densité de véhicules, lignes de bus en adéquation, loyers abordables etc…).

Connaissant le Mont Citoyen depuis 2015, année de sa création, j’ai été rapidement séduite par sa structure et la volonté de transparence dans les affaires publiques.

Je voudrais mettre à profit mon expérience vécue depuis plusieurs années au Mont et construire ensemble notre commune de demain avec tous les enjeux qui sont devant nous. Autrefois village, aujourd’hui ville, la commune du Mont-sur-Lausanne ne doit pas perdre son identité mais évoluer en gardant le cap qu’elle s’est fixée.

Je m’engage au Conseil Communal car j’aime cette commune et ses citoyens et je désire m’investir pour défendre ses intérêts.

Natalie BETSCHA


Privilégier l’intérêt général et prendre soin du bien commun

Originaire de Lausanne, j’ai eu l’opportunité de m’installer au Mont-sur-Lausanne en 2006, dans la zone agricole de Manloud. Habiter en pleine nature, à 15 minutes du centre-ville de Lausanne, est une véritable aubaine et je remercie le destin.

Employé de commerce de formation, j’ai accompli mon parcours professionnel dans l’administration publique, dont 12 ans à l’Etat de Vaud (Service vétérinaire et service de l’agriculture), 9 ans au Centre d’éducation permanente (Mont-sur-Lausanne), et 8 ans à la Ville de Lausanne. Les aménagements du temps de travail qu’offre la fonction publique m’ont permis de m’investir dans la musique et le théâtre, ainsi que dans le partage des tâches familiales.

Lors de mon arrivée dans notre Commune, j’ai pu m’intégrer à la vie associative et m’améliorer en cuisine grâce à l’Ordre de la Poêle. Mais lorsque j’ai voulu proposer d’autres activités sportives, comme le Tai Chi Chuan, je me suis trouvé confronté à des résistances. Cette période a coïncidé avec la montée en puissance d’une association à l’écoute de chacune et de chacun, le Mont citoyen.

Élu au Conseil communal en 2016, j’ai intégré la Commission de gestion, que j’ai présidée durant 1 année, et dont j’assure le secrétariat.

Les enjeux au niveau du lien social sont importants dans notre commune qui s’étend au-delà de ses quatre coins et à grande vitesse. Le développement d’un « village-qui-devient-une-ville » ne peut pas se contenter d’un schéma directeur, mais nécessite un accompagnement au changement, une adaptation constante et se doit d’être à l’écoute des habitantes et des habitants.

Robert IRRAUSCH

Membre de la confrérie de l’Ordre de la Poêle

Directeur du Centre suisse Yang Chengfu et responsable de Tai Chi Le MontPrésident fondateur (2016-2019) du le Mont Basketball Club


Changeons maintenant !

Arrivée dans la commune du Mont-sur-Lausanne en 2014, j’ai tout de suite senti un possible. Un possible de faire autrement, d’occuper notre espace différemment. Ce sentiment s’est d’abord traduit par une réflexion autour de mon espace de vie personnel. Aujourd’hui, avec mon compagnon, nous nous lançons dans une aventure communautaire au coeur du Mont, afin de partager des espaces matériels et les rendre humains. Car, c’est cela qui m’inspire ; l’humain dans son espace social.

Dans notre société, l’échange se fait de plus en plus difficilement. Les rencontres entre voisins sont fugaces et parfois même, inexistantes. Pourtant, en cette période compliquée, l’entraide a été, et continue d’être, la meilleure arme contre la solitude et la morosité de notre époque.

Travaillant au collège du Mottier, je côtoie les générations futures de cette commune. Et le manque d’espaces d’expression pour cette jeunesse consciente et stressée par les jours de demain, m’a donnée envie de m’engager. Oui, j’ai envie de pouvoir donner voix à leurs envies de vert et d’espaces qui leur sont dédiés. Il est derrière le temps des parkings au milieu de la commune, il nous faut plus de parcs et d’espaces verts pour ceux qui seront là après nous. L’avenir ne s’écrit plus dans une tâche de pétrole, mais bien dans une motte de terre. La commune du Mont a un potentiel énorme, elle croit chaque jour un peu plus et avec cette croissance doit venir le changement. Soyons un exemple pour les communes voisines frileuses et immobilistes. Ne nous contentons pas d’apprendre aux nouvelles générations à être responsables. Soyons responsables avec elles. Changeons maintenant !

Catarina ANTUNES


Faisons ensemble Le Mont de demain !

Arrivé en famille dans la Commune en 2007, j’ai rejoint le Mont Citoyen dès 2015. Entré au Conseil communal en mai 2018 suite au départ d’une personne du groupe, je siège à la commission de recours en matière d’impôts. 

Tout récemment retraité, j’ai travaillé vingt ans à la Commune de Lausanne dans le domaine de l’insertion socioprofessionnelle comme responsable de secteur et de formation. Je suis toujours chargé de cours dans une école supérieure et représentant syndical au comité du Gymnase du soir de Lausanne.

Devenus, en famille, citoyens suisses et bourgeois du Mont en 2017, je sais bien l’importance d’être impliqué dans la prise des décisions qui affectent notre devenir pour que ces décisions prennent du sens et portent des fruits. C’est pourquoi je pense que l’action d’un groupe comme Le Mont Citoyen, est indispensable au bon fonctionnement de la démocratie locale.

Le Mont Citoyen, pluriel, dynamique et représentatif des montaines et montains  a prouvé être capable d’orienter la politique communale pour répondre à leurs besoins. 

La prochaine législature verra une municipalité davantage « professionnelle » avec cinq membres disposant de plus de temps pour leur fonction. Le Mont devient une ville. Il est important que les élus soient en lien direct avec les citoyens pour que les «politiques» restent attentifs aux besoins quotidiens de tous. Faisons ensemble Le Mont de demain.

Tomas LOPEZ REDONDO


Place à la petite reine !

J’ai grandi un peu partout en Suisse et passé mon enfance à Saint-Sulpice. Mariée à un montain, nous vivons depuis 2004 dans le quartier des Planches avec nos 2 grands enfants.

Je travaille à temps partiel au chemin d’Entre-Bois à Lausanne dans le domaine du média affichage depuis 1988 et suis une passionnée d’affiches anciennes et culturelles. 

Une bonne partie de mes journées est occupée par la permaculture. Mon mari a converti notre mur de grimpe en bac surélevé, dans lequel j’ai fait mes premiers essais. Par la suite, le goal de foot a servi de tuteur, et cette année, la place de jeux des enfants est devenue un grand potager, associant légumes et fleurs, en hauteur et au sol. Mais les résultats sont parfois décevants et n’étant pas encore tout à fait autonomes, nous faisons partie de l’association des Jardins du Mont.

Je me déplace presque toute l’année à mon travail et dans les environs de Lausanne à vélo. L’utilisation de la petite reine est de plus en plus considérée comme un moyen de transport écologique, silencieux, bon pour la santé et peu gourmand en espace public. Avec quelques aménagements, rendons le vélo plus attrayant et plus sûr, afin de donner l’envie de le pratiquer. Les changements survenus ces derniers mois à Lausanne sont impressionnants et exemplaires. Ils favorisent la continuité du réseau de bandes cyclables, réduisent la congestion et renforcent la sécurité et la qualité de vie. 

Chaque piéton, usager de trottinette ou cycliste a droit au même espace sur domaine public que les voitures, avec la sécurité en plus.

Beaucoup de communes de l’agglomération lausannoise se mobilisent. Montrons l’exemple d’une commune dynamique et ouverte aux changements pour les générations futures.

Antoinette EMERY


Pour une transition écologique et sociétale bénéfique à tous

  • Faire bouger les choses dans le bon sens, avec bon sens
  • Placer l’intérêt collectif au-dessus des intérêts personnels ou partisans
  • Se soucier de l’avenir et pas seulement de notre train-train quotidien
  • Se poser les vrais questions de société, discuter des conflits éthiques
  • Faciliter une vraie transition énergétique, écologique et sociétale
  • Concilier enjeux écologiques et enjeux économiques
  • Redonner goût à l’action politique

Voilà pour mes principales motivations à agir au Conseil communal, comme je le fais déjà.

Concernant mon profil, on pourrait le résumer comme suit :

  • diplômé en économie, en gestion internationale, puis en management durable
  • longue expérience de responsable marketing dans des entreprises diverses
  • reconversion professionnelle voulue, puis réussie
  • engagements associatifs pluriels
  • très engagé au Canton de Vaud avec pour mission d’accélérer la transition énergétique
  • co-fondateur Le Mont citoyen, puis conseiller communal depuis 2016
  • membre (parfois actif) des Verts vaudois
  • ex-président de la Commission des finances du Mont-sur-Lausanne
  • membre actif de la Commission Société à 2000 watts du Mont-sur-Lausanne
  • père de famille (bientôt 4 enfants)
  • ancien sportif (champion suisse de skwal – je vous laisse chercher ce que c’est que ce truc…)
  • et pas mal de compétences personnelles, mises au service de la commune 😉

Vive Le Mont ! Vive l’action citoyenne ! Vive Le Mont citoyen !

Arnaud BRULÉ


Le Mont pour lequel je m’engage

Le Mont pour lequel je m’engage, c’est d’abord une Commune respectueuse de l’environnement et la biodiversité. Les abeilles, comme celles des ruches dont je prends soin après avoir terminé la formation de base de la FVA, y trouvent de quoi butiner. C’est aussi une Commune qui travaille sur son empreinte écologique, tout comme je m’applique à le faire dans mon quotidien. Limitant les plastiques à usage unique, je privilégie des produits ménagers et cosmétiques élaborés localement, respectueux de l’humain comme de notre eau. Refusant l’agro-alimentaire, je favorise les circuits courts, sans intermédiaire pour grand nombre de produits alimentaires.

Le Mont pour lequel je m’engage, c’est avant tout une Commune qui donne envie à ses jeunes de ne pas la quitter ou d’y revenir. Après y avoir passé la fin de ma scolarité et obtenu en 2004 un premier CFC d’employée de commerce dans une entreprise d’informatique en Budron, j’y suis revenue au début de l’année 2020. Entretemps, j’ai co-fondé l’Atelier 207 à Penthalaz, un espace de travail regroupant plusieurs indépendants œuvrant dans le domaine du visuel, après avoir obtenu un second CFC en photographie.

Le Mont pour lequel je m’engage, c’est bien sûr une Commune ouverte à la culture, comme celle proposée par le Collectif Secteur C que je préside, regroupant des artistes souhaitant repenser nos acquis, déconstruire, réinventer notre quotidien. Ensemble, nous avons monté en 2019 une première exposition « LOW », festival d’art en décroissance sur trois jours qui a accueilli 300 visiteurs dans la zone industrielle de Penthalaz durant le temps d’un weekend lors duquel la consommation, l’impact écologique et l’humain furent au cœur des échanges. 

Le Mont pour lequel je m’engage, c’est surtout une Commune solidaire qui favorise des liens intergénérationnels forts comme ceux qui m’unissent avec mes grands-parents, Montains depuis toujours. En m’installant au 1er étage de leur maison, j’avais à cœur de faire en sorte que mon aide, tant au jardin que dans les méandres administratifs, puisse les maintenir le plus longtemps possible à domicile. Je mesure aujourd’hui ma chance de pouvoir rire avec eux au quotidien.

Le Mont pour lequel je m’engage, c’est enfin une Commune, entre ville et campagne, où l’on vit heureux comme lorsque je parcours le Bois de Géziaux avec mon compagnon Luc et mon chien Basil. 

Brigitte BESSON

Membre Vert.e.s vaudois.es, comité section Tasson
Secrétaire au comité, de la société d’Apiculture du Gros-de-Vaud


Une passion : le Mont solidaire

Né en 1942, j’ai vécu mon enfance dans un environnement précaire, typique de l’immédiate après-guerre. J’ai suivi des écoles à Lucerne, à Morat, à La-Tour-de-Peilz et finalement à Bienne où j’ai aussi fait un apprentissage de commerce.

Plus tard, j’ai passé la majeure partie de ma vie en dehors de la Suisse. J’ai visité une quinzaine de pays sur plusieurs continents, non pas en tant que touriste, mais pour y vivre et y travailler. De ce fait, j’ai côtoyé beaucoup de gens aux mœurs et mentalités très différentes des nôtres.

J’ai participé, en tant que directeur commercial, à la construction de projets d’infrastructures majeurs, tels que le pont suspendu sur le Grand Belt, un barrage hydro-électrique sur le fleuve Jaune, une ligne de TGV à Taiwan, ou encore un grand parc d’éoliennes en mer du Nord.

Puis, ayant eu mon content de pérégrinations, je me suis établi au Mont-sur-Lausanne il y juste 3 ans. Et j’adore cet endroit. J’aimerais participer à la vie de ma nouvelle commune qui m’a offert un cadre de vie si agréable. J’ai du temps libre pour cela.

Au Mont, j’ai pu m’intégrer très vite dans la vie sociale, entre autres grâce au projet des quartiers solidaires, dans lequel je suis plutôt actif. Le projet, qui s’appelle dorénavant Mont Solidaire, a malheureusement subi un sérieux coup de frein en raison de la Covid19. Il s’agira, aussitôt que possible, de relancer le mouvement et aussi de l’amplifier. J’ai bien l’intention de participer à cet effort. Il y a encore trop de personnes qui se retrouvent isolées, involontairement ou de leur propre gré.

En amoureux de la nature, je passe beaucoup de temps à me balader dans les forêts et les champs environnants. J’espère que nous serons capables de garder intact cet environnement vert le plus longtemps possible, en dépit de la poussée démographique qui nous attend ces prochaines années.

J’aimerais aussi participer à la promotion de la mobilité douce. Il y a encore bien des efforts à faire pour améliorer l’efficacité et baisser les tarifs des transports en commun.

Gérard TISSOT