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La motivation de m’impliquer activement dans les affaires de ma commune
Depuis mon arrivée en Suisse en 1990, j’ai vécu dans plusieurs communes. Nous recherchions notre future maison au Mont-sur-Lausanne en 2007. Depuis lors, cette commune est le cadre idéal de l’épanouissement de ma famille.
Dans le passé, je me suis engagé dans des associations locales qui travaillent pour l’intérêt public dans divers domaines dont l’intégration et la culture. J’ai toujours eu l’envie d’avoir un impact positif sur le lieu où je vis.
A l’origine de la création du Mont citoyen, une idée simple : deux pétitions pour des infrastructures nécessaires à une commune qui grandit. Ce fut un grand succès au sein de la population, mais surtout cette action a déclenché chez moi la motivation de m’impliquer activement dans les affaires de ma commune : depuis 2014, je fais partie du Conseil communal.
Le Mont-sur-Lausanne est une commune qui se développe très rapidement. D’esprit ouvert, appréciant le travail d’équipe et motivé, je souhaiterais participer à ce développement avec mes valeurs en matière d’enjeux intergénérationnels, de mobilité douce et de multiculturalité. Ensemble, nous pouvons construire une ville dynamique, sereine et visionnaire en terme de qualité de vie, de respect des volontés des citoyens et de développement durable.
Aydin DURMAZ
Une précieuse ouverture
Mon premier regard posé sur Le Mont fut celui d’un enfant. Je me suis aventuré dans ses forêts. Je me suis dépensé dans ses infrastructures sportives nombreuses et de qualité.
J’ai bénéficié de la proximité heureuse avec le monde agricole et… de la ville à portée de main.
Je suis arrivé au Mont à l’âge de neuf ans ; j’y suis resté, presque sans m’en éloigner.
Adulte, je réside au Mont avec ma femme et mes trois enfants. J’apprécie à présent également, et surtout, son ouverture : ancrée dans son réseau de transports publics ; portée par ses efforts écologiques ; sublimée par son accueil de ceux qui sont privés de patrie.
Pourtant, beaucoup reste à faire.
Pourquoi se priver d’améliorer encore les transports pour l’ensemble de la commune ? Pourquoi ne pas aller plus loin dans le souci écologique au sein de notre région ? Pourquoi ne pas offrir la possibilité aux réfugiés de participer à des travaux d’intérêt public?
La préservation de notre commune, j’en suis convaincu, passe par une évolution douce et déterminée.
Gaël SAILLEN
Participer à la vie de la Cité
Arrivé en 2011 au Mont avec ma famille, j’ai souhaité assez vite donner de mon temps et de mon énergie dans cette commune, comme moniteur du groupe enfantines de la FSG puis comme membre du comité des Jardins du Mont.
Depuis mon arrivée au Mont, la population de la commune a crû autant que durant les trente années précédentes, et cela continuera. Je ne peux clairement pas m’en offusquer, je suis un de ces nouveaux habitants.
La situation de la commune à 10 minutes en bus ou à vélo du centre de Lausanne est idéale et propice à une densification. Mais cela implique une grande responsabilité des autorités communales pour accompagner au mieux cette évolution. Afin de minimiser les nuisances dues au trafic routier d’une grande commune, il faut continuer à développer les transports publics, soutenir la mobilité douce, promouvoir la proximité.
De même, des infrastructures scolaires de qualité, un accueil para-scolaire et pré-scolaire suffisant et abordable pour tous les habitants sont autant de défis à relever pour garantir le maintien de l’excellente qualité de vie dans notre commune. Tout cela en essayant de préserver une certaine ambiance « villageoise » conviviale et solidaire.
Tous ces défis sont passionnants et je serais heureux de pouvoir participer, en tant que conseiller communal, au développement et à la vie de cette commune dans une vision de bien-vivre ensemble qui m’est cher.
Jean-Marie URFER
Le Mont n’est plus un village
Etabli avec ma famille au Mont-sur-Lausanne depuis 2007 j’ai pu vivre le développement démographique très important de la commune durant cette brève période. La population totale a augmenté d’environ 30% et de nouveaux quartiers se sont créés.
Cela ne va pas sans soulever toutes sortes de questions. Qui sont ces nouveaux habitants ? Quels sont leurs besoins ? Comment maintenir un cadre de vie agréable en développant les infrastructures de manière respectueuse de l’environnement naturel et humain ? Comment construire cette nouvelle communauté en impliquant chacune et chacun autant que possible ?
Je travaille dans le domaine de l’insertion socioprofessionnelle depuis de nombreuses années. Tous les jours je constate l’importance d’être impliqué dans la prise des décisions qui affectent notre devenir pour que ces décisions prennent du sens et portent des fruits.
C’est la volonté de contribuer à répondre à ces nombreuses questions qui découlent des transformations rapides que nous vivons, qui m’a amené à rejoindre le Mont citoyen dans sa démarche participative de renouvellement de la vie politique locale.
Le Mont n’est plus un village, faisons en sorte qu’il ne devienne pas une banlieue quelconque.
Tomas LOPEZ
Le Mont-sur-Lausanne, une commune où il fait bon vivre !
Etant né à Lausanne, y ayant vécu toute mon enfance, déménagé à Chailly durant mon adolescence, ayant connu Saint-Sulpice, Prilly et enfin m’être installé depuis 2005 au Mont, je peux dire qu’ici, on y est bien.
Nos enfants ont toujours fréquentés les écoles du Mont. Ils y ont construit leurs liens sociaux, s’épanouissent au quotidien et s’identifient à cette bourgade dont ils revendiquent l’appartenance. Quant à nous, avec mon épouse, nous nous voyons bien y vieillir. Pas question de déménager.
Nous avons donc construit notre vie en conséquence et mes choix professionnels ont été guidés par cette exigence non négociable. Nous avons notre famille dans un rayon de 10 kilomètre, l’accès aux magasins, les abords autoroutiers, le sport, la forêt, le calme, les activités extra-scolaires, les montagnes pas loin… et la liste est encore longue.
Malgré les défis inhérents au développement de notre société, nous avons le sentiments que Le Mont peut et doit les relever tout en préservant ce qui fait sa force, un lieu de bien-être au portes de Lausanne.
Le Mont Citoyen, de par sa composition variée et volontaire, peut contribuer à œuvrer pour la pérennité de la qualité de vie dans cet endroit précieux et privilégié. Cessons de voir tous les malheurs qui nous entourent mais construisons un avenir sur les belles choses qui sont faites actuellement tous les jours dans notre commune.
Michel GOLAY
Construisons ensemble un meilleur quotidien
Enfant d’une famille alémanique implantée dans le canton de Vaud, j’ai la chance d’avoir bénéficié d’une éducation prodiguée dans un esprit de communication et d’ouverture. Je me suis installé à Lausanne pour y suivre des études universitaires en gestion d’entreprise avec un Bachelor et un Master à HEC Lausanne à la clef. Depuis plus de 5ans, je suis cadre responsable de comptes clients dans une multinationale de la région.
Lorsque mon épouse Yaël et moi nous sommes mis à la recherche d’un nid pour fonder notre famille, nous avons été séduits par Le Mont-sur-Lausanne, la commune d’épanouissement idéale. Par son environnement rural, calme et verdoyant, par sa proximité avec nos lieux de travail et de loisirs et, avant tout, par sa dimension humaine, Le Mont nous a convaincus naturellement. Nous avons posé nos valises et nos papiers dans les hauts du chemin des Montenailles où nous venons d’accueillir notre premier enfant.
Ma volonté de contribuer activement au développement de notre Commune devenant toujours plus forte, je me suis intéressé au Forum citoyen initié ce printemps. L’ambition de cette démarche était de permettre à chacune et chacun de définir les priorités de notre Commune, où démocratie participative, solidarité et écologie prévalent. Aligné avec une majorité des thématiques discutées lors de cet événement, j’ai décidé dans la foulée de rejoindre Le Mont Citoyen en tant que membre actif puis en tant que membre du comité. En effet, je perçois mon engagement au sein de cette association comme un devoir envers mes concitoyennes, mes concitoyens et ma famille. Ce devoir, je l’assume avec plaisir et responsabilité.
Ma motivation à faire bouger les choses avec vous me pousse naturellement à me présenter au Conseil Communal. Lorsque je serai élu, je m’engage en priorité à défendre les points suivants de notre programme :
- Encourager la mobilité douce et améliorer la desserte du réseau des transports publics, en prenant davantage en compte le quotidien des habitants des différents quartiers
- Favoriser le développement de l’accueil préscolaire (garderie et réseau de mamans de jour), en collaboration avec les autorités et les entreprises locales
- soutenir l’économie locale en favorisant les PMEs montaines, notamment en promouvant l’utilisation de produits et services locaux dans les institutions publiques (écoles, EMS, garderies)
Dans l’attente de vous rencontrer prochainement, je vous souhaite ainsi qu’à vos familles de très belles Fêtes de fin d’année.
Remo STUDER
Participer à la vie de la Commune
Arrivé dans le courant 2015 avec ma femme et ma fille d’une année au Mont, j’ai eu la chance de découvrir une commune qui sait allier dynamisme et dimension humaine. Les années à venir et les défis qui se poseront à cette commune, qui passera le cap des 8’000 habitants en 2016, ont motivé mon engagement au Mont citoyen.
Doctorant à l’institut de hautes études en administration publique à l’Université de Lausanne, je me suis spécialisé dans les stratégies de développement durable des territoires. Cette question fait évidemment partie des défis auxquels le Mont est et sera confronté au cours des prochaines années. En considérant et consultant ses citoyens (anciens, nouveaux, jeunes, ainés, hommes, femmes, étrangers, nationaux, etc.), la commune pourra se développer de façon saine et respectueuse de sa diversité et de son environnement.
Bien que nouvel arrivant au Mont, c’est la volonté de voir la commune se développer de façon harmonieuse dans les années à venir qui a motivé mon engagement pour cette élection et au sein du Mont citoyen.
Joël PINSON
Davantage de solidarité
Habitant le Mont depuis 25 ans, maman au foyer, active dans le bénévolat au sein d’un refuge sur les hauts de Lausanne. Mes enfants ont suivi toute leur scolarité au Mont, et ont fait partie d’associations communale (foot-gym).
Je constate que la densification de notre commune ne cesse de s’accroître, mais ne laisse que peu d’opportunité à nos jeunes de s’y installer. D’où l’intérêt que des coopératives d’habitations aient la possibilité de s’y implanter, ce qui est déjà le cas à Longeraie et à Maillefer. Mais est-ce suffisant?
L’écologie, le commerce de proximité et la consommation de produits locaux sont des valeurs qui me semblent primordiales. Valeurs que le Mont citoyen défend, d’où mon intérêt pour ce parti.
Francine ETTER
Il est important de s’occuper de l’endroit où l’on vit au premier chef
Depuis 2009 nous avons la chance, avec ma femme et 3 grands enfants, de vivre, quasi dans les bois, au Mont.
Il est important de s’occuper de l’endroit où l’on vit au premier chef, tout en restant conscient des difficultés grandissantes conditionnées par le vieillissement des populations, la poussée démographique et le déclin obligatoire d’un Occident consumériste.
Un credo : l’économie englobe l’écologie. Deux termes totalement pervertis par une société de consommation pousse-à-jouir toujours plus dans l’impasse. Ainsi du danger pour la Suisse à la démographie délirante et au coût de la vie trop élevé par comparaison au reste du monde… Une Suisse trop contente d’elle-même, trop gestionnaire, au point d’en oublier la politique, le recul, la prévision… L’avenir.
Adepte de gens comme Kropotkine ou Rabbhi, je suis pour une « sobriété heureuse » qui me semble correspondre assez bien à l’esprit de ce pays et à sa « mentalité source » de paysans de montagne économes. Je crois que, dans cet esprit, il faut favoriser des actions communautaires comme : troc, garderies associatives, jardins partagés, circuits courts, économies partout, énergies renouvelables, EMS associatifs, etc…
De plus je défends l’idée qu’avec Internet n’importe qui peut aujourd’hui apprendre et découvrir un savoir à la disposition de tous. Le monde est en mutation rapide. Chacun peut atteindre tout le monde, de fait chaque partie de notre planète en devient le centre – représentation aisée sur une sphère ;-). Il faut donc, appuyés sur cette idée « locale », inciter les jeunes à bousculer la vieille normalisation méfiante d’en haut – toujours plus normative que formative – et la remplacer par une responsabilité rayonnante, avertie et ouverte, d’en bas.
Formé comme employé de commerce, puis imprimeur, j’ai ensuite fait ma carrière dans la musique – dernier poste à la direction de l’EJMA, lorsque cette magnifique émergence de musique non archivée était encore libre. Actuellement en pré retraite, la compliance juridique galopante de ce pays étant infichue de valider les acquis de l’expérience, j’ai du temps précieux à consacrer à diverses missions, la réflexion, l’écriture… et la politique.

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